Evaluez, gérez et analysez vos processus de labellisation ESG immobilier (Environnemental, Social et Gouvernance) avec efficacité et confiance. Pour non seulement être en conformité avec les réglementations sur la performance extra-financière, mais aussi pour anticiper les changements futurs et permettre une croissance durable de vos actifs.
Gagnez en contrôle et en visibilité sur vos données, automatisez les processus pour anticiper les impacts, créez des rapports et transformez des données complexes en informations exploitables grâce à une technologie de pointe.
Toutes les données nécessaires pour répondre aux différents référentiels (ISR, CRREM, HQE) disponibles sur une seule plateforme. Identifiez et comblez les lacunes, et répondez aux attentes de vos parties prenantes.
Surveillez vos données et votre consommation d’énergie, obtenez des rapports avec une estimation des lacunes automatisée, et gérez votre campagne au sein de la même plateforme.
Comparez les performances de vos actifs avec des tableaux de bord intégrés, publiez vos données sur des outils de benchmark ESG (Environnemental, Social et Gouvernance), tels que GRESB, et améliorez vos scores grâce à des plans d'actions.
La finance verte désigne des investissements spécifiquement destinés à favoriser la transition énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique.
Elle privilégie l’investissement responsable qui prend en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Le principal outil de la finance verte reste les obligations vertes (ou “Green Bonds” en anglais) qui sont émises dans le but de financer des projets participant à la lutte contre le réchauffement climatique et à la transition énergétique. L’épargnant peut également investir dans des fonds verts dont la caractéristique est de sélectionner des entreprises sur la base de critères environnementaux.
Les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) sont un ensemble de mesures utilisées pour évaluer les performances d’une entreprise sur des aspects liés à l’environnement, aux aspects sociaux et à la gouvernance d’entreprise. Ces critères sont utilisés par les investisseurs et les parties prenantes pour évaluer la durabilité et la responsabilité d’une entreprise.
Critères Environnementaux (E) :
Les critères environnementaux portent sur les pratiques d’une entreprise en matière de durabilité environnementale. Cela peut inclure des mesures de l’empreinte carbone de l’entreprise, de sa consommation d’énergie, de sa gestion des déchets, de sa politique de préservation de la biodiversité, de l’utilisation durable des ressources naturelles, de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, etc.
Critères Sociaux (S) :
Les critères sociaux portent sur les pratiques d’une entreprise en matière de responsabilité sociale envers ses employés, ses fournisseurs, ses clients et les communautés dans lesquelles elle opère. Cela peut inclure des mesures de la diversité et de l’inclusion au sein de l’entreprise, des pratiques de santé et de sécurité au travail, de l’éthique des affaires, des conditions de travail, des droits de l’homme, de l’impact social positif, etc.
Critères de Gouvernance (G) :
Les critères de gouvernance portent sur les pratiques de gouvernance d’entreprise, y compris la structure de gouvernance, la transparence, l’indépendance des administrateurs, la rémunération des dirigeants, les pratiques anti-corruption, les systèmes de contrôle interne, la responsabilité et l’éthique des dirigeants, etc. Ces critères visent à évaluer la façon dont une entreprise est gérée et si elle met en place des pratiques éthiques et responsables.
Les critères ESG sont utilisés pour évaluer la performance globale d’une entreprise en matière de durabilité et de responsabilité. Ils peuvent également être utilisés pour comparer les entreprises entre elles et aider les investisseurs à prendre des décisions d’investissement plus éclairées, en tenant compte des impacts sociaux et environnementaux des entreprises
Les critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) sont devenus de plus en plus importants dans le secteur des sociétés de gestion d’actifs immobiliers. Ces critères permettent d’évaluer les performances et l’impact environnemental, social et de gouvernance des entreprises et des investissements immobiliers. Voici quelques critères ESG couramment utilisés pour évaluer les sociétés de gestion d’actifs immobiliers :
Environnement :
Social :
Gouvernance :
Il convient de noter que ces critères peuvent varier en fonction des normes et des exigences spécifiques de chaque juridiction ou organisme de notation. Les investisseurs et les parties prenantes peuvent utiliser ces critères ESG pour évaluer la performance globale d’une société de gestion d’actifs immobiliers en termes d’impact environnemental, social et de gouvernance.
En tant que société de gestion d’actifs immobiliers, il est essentiel de reporter sur les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) pour démontrer votre engagement envers la durabilité et la responsabilité sociale. Voici quelques éléments clés à prendre en compte lors de la préparation de votre rapport ESG :
Environnement :
Social :
Gouvernance :
Assurez-vous de fournir des données quantitatives et qualitatives, des objectifs mesurables et des indicateurs de performance clés pour chaque domaine ESG.
Il est également important d’adopter des normes de reporting reconnues, telles que les directives du GRI (Global Reporting Initiative) ou les recommandations du TCFD (Task Force on Climate-related Financial Disclosures), pour garantir la crédibilité et la comparabilité de votre rapport ESG.
Le décret tertiaire précise les modalités de l’article 175 de la loi ELAN.
Le suivi des consommations énergétiques des bâtiments tertiaires de plus de 1000m²est assuré au travers de la plateforme informatique OPERAT, gérée par l’ADEME. Les propriétaires ainsi que les locataires doivent déclarer chaque année à partir de septembre 2022 les éléments relatifs à leurs bâtiments (type d’activité, surface, consommation annuelle…).
L’objectif du décret tertiaire est de réduire progressivement la consommation énergétique du parc tertiaire français. Pour atteindre cet objectif, il impose cette réduction à travers 3 échéances :
-40% en 2023
-50% en 2040
-60% en 2050
Pour les immeubles qui sont déjà de « bon élèves » on peut appliquer la méthode de calcul dite de la « valeur absolue »
Agir maintenant permet de définir un plan d’action pour répondre à ces objectifs. La mise en place de ces actions va permettre de répondre efficacement aux attentes définies et de réaliser les opérations nécessaires et de réaliser des économies au plus tôt.
La taxonomie européenne désigne une classification des activités économiques ayant un impact favorable sur l’environnement. Le terme “Taxonomie” formé à partir du nom grec “ónoma” désigne la “le nom” et se rapporte ainsi à des questions de nomenclature.
Son objectif premier est de créer un langage communautaire puis international pour une classification standardisée des activités économiques; en fonction de leurs externalités environnementales, elles sont ainsi orientées vers des activités “vertes” . Il est ainsi plus simple d’identifier et de favoriser les investissements vers des activités soutenables pour permettre à l’Union européenne d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2050.
Publié le 18 juin 2019 et consacré à près de 70 secteurs d’activité, son rapport technique, produit par un groupe d’experts sur la finance durable, distingue trois catégories d’activités durables :
Les activités classées durables correspondent à au moins des six objectifs suivants :
Il est également nécessaire qu’elle respecte les droits sociaux et du travail.
Les acteurs soumis au reporting sont toute les entreprises soumises à l’obligation de publication d’une déclaration de performance Extra-Financière et au investisseurs (Gérants d’actifs) dès le 1 janvier 2024.
En Europe, la taxonomie fait référence à la classification des activités économiques en fonction de leur contribution à des objectifs environnementaux spécifiques, tels que la lutte contre le changement climatique ou la préservation de la biodiversité. Elle vise à créer un système de classification harmonisé pour évaluer la durabilité des investissements et promouvoir la finance durable.
En ce qui concerne le décret tertiaire en France, il s’agit d’une réglementation qui impose aux bâtiments tertiaires, c’est-à-dire les bureaux, les commerces et les entrepôts, de réduire leur consommation énergétique. Le décret fixe des objectifs de réduction progressive de la consommation énergétique pour ces bâtiments jusqu’en 2050.
Les impacts pour les asset managers de l’immobilier, qui gèrent des actifs immobiliers pour le compte d’investisseurs, sont les suivants :
Obligation de reporting : Les asset managers doivent collecter et communiquer des données précises sur la performance énergétique des bâtiments qu’ils gèrent, notamment en ce qui concerne la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre. Cela nécessite une surveillance et une gestion rigoureuse des données.
Nécessité de rénovation : Les bâtiments tertiaires existants doivent être rénovés pour atteindre les objectifs de réduction de la consommation énergétique fixés par le décret. Cela peut nécessiter des investissements importants dans des mesures d’efficacité énergétique, telles que l’isolation, l’amélioration des systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation, etc.
Impact sur la valeur des actifs : Les bâtiments peu performants sur le plan énergétique peuvent voir leur valeur diminuer à mesure que les réglementations deviennent plus strictes. Les asset managers doivent prendre en compte ces facteurs lors de l’évaluation des actifs immobiliers et de la gestion des portefeuilles.
Opportunités d’investissement : Le décret tertiaire crée également des opportunités d’investissement dans des projets de rénovation énergétique et de développement de bâtiments durables. Les asset managers peuvent identifier ces opportunités et conseiller les investisseurs sur les investissements durables et à faible consommation d’énergie.
le lien entre ESG, taxonomie et décret tertiaire dans le marché immobilier réside dans le fait que les critères ESG et la taxonomie peuvent être utilisés pour évaluer et identifier les investissements immobiliers durables, tandis que le décret tertiaire impose des exigences spécifiques aux propriétaires de bâtiments tertiaires pour améliorer leur performance environnementale. Les entreprises immobilières doivent prendre en compte ces critères ESG, la taxonomie et le décret tertiaire dans leurs décisions d’investissement et de gestion des actifs immobiliers afin de se conformer à la réglementation et de répondre aux attentes croissantes en matière de durabilité.
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* Caveat : actif type tertiaire de 1.000 à 5.000m² avec jusqu’à 10 locataires. Secteur public nous consulter.
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